Passez donc me voir... Je partage ma bibliothèque virtuelle. Je vous réserve ainsi des surprises à découvrir régulièrement au fil du temps... Un regard nouveau par l'entremise de photos, de musiques, de poésies, de vidéos, d'astuces et de publications variées. Un rendez-vous avec une page différente au gré de mes découvertes ou créations. Un nouvel ami pas si virtuel que cela avec lequel vous aimerez partager un moment. Bonne découverte.

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Poésies d'hiver - 3ème partie


Il a neigé
Il a neigé dans l'aube rose
Si doucement neigé,
Que le chaton croit rêver.
C'est à peine s'il ose
Marcher.
Il a neigé dans l'aube rose
Si doucement neigé,
Que les choses
Semblent avoir changé.
Et le chaton noir n'ose
S'aventurer dans le verger,
Se sentant soudain étranger
À cette blancheur où se posent,
Comme pour le narguer,
Des moineaux effrontés.
Maurice Carême

Le givre
Mon dieu comme ils sont beaux
Les tremblants animaux
Que le givre a fait naître
La nuit sur ma fenêtre !
Ils broutent des fougères
dans un bois plein d'étoiles,
Et l'on voit la lumière
A travers leur corps pâles.
Il y a un chevreuil
Qui me connaît déjà
Il soulève pour moi
Son front d'entre les feuilles.
Et quand il me regarde,
Ses grands yeux sont si doux
Que je sens mon cœur battre
Et trembler mes genoux.
Laissez-moi, ô décembre !
Ce chevreuil merveilleux.
Je resterai sans feu
Dans ma petite chambre.
Maurice Carême

Nuit de neige
La grande plaine est blanche, immobile et sans voix.
Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte.
Mais on entend parfois, comme une morne plainte,
Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois.
Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de chaumes.
L'hiver s'est abattu sur toute floraison ;
Des arbres dépouillés dressent à l'horizon
Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes.
La lune est large et pâle et semble se hâter.
On dirait qu'elle a froid dans le grand ciel austère.
De son morne regard elle parcourt la terre,
Et, voyant tout désert, s'empresse à nous quitter.
Et froids tombent sur nous les rayons qu'elle darde,
Fantastiques lueurs qu'elle s'en va semant ;
Et la neige s'éclaire au loin, sinistrement,
Aux étranges reflets de la clarté blafarde.
Oh ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !
Un vent glacé frissonne et court par les allées ;
Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,
Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.
Dans les grands arbres nus que couvre le verglas
Ils sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;
De leur œil inquiet ils regardent la neige,
Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.
Guy de Maupassant
Guy de Maupassant (1850-1893) est un auteur français de romans
(Une vie ; Bel ami) et de nouvelles (Boule de Suif ; Les Contes de la bécasse).
C'est aussi un poète méconnu.

Paysage de neige
Au dedans, le silence et la paix sont profonds ;
De froides pesanteurs descendent des plafonds,
Et, miroirs blanchissants, des parois colossales
Cernent de marbre nu l'isolement des salles.
De loin en loin, et dans les dalles enchâssé,
Un bassin de porphyre au rebord verglacé
Courbe sa profondeur polie, où l'onde gèle ;
Le froid durcissement a poussé la margelle,
Et le porphyre en plus d un endroit est fendu ;
Un jet d'eau qui montait n'est point redescendu,
Roseau de diamant dont la cime évasée
Suspend une immobile ombelle de rosée.
Dans la vasque, pourtant, des fleurs, givre à demi,
Semblent les rêves frais du cristal endormi
Et sèment d'orbes blancs sa lucide surface,
Lotus de neige éclos sur un étang de glace,
Lys étranges, dans l'âme éveillant l'idéal
D'on ne sait quel printemps farouche et boréal.
Catulle Mendès - 1869, 
passage de "La Vision suprême", 
partie IV (dans le recueil "Hespérus", Librairie des Bibliophiles, 1872)
Catulle Mendès (1841-1909) est un des fondateurs du mouvement littéraire
Le Parnasse, avec des poètes comme Leconte de Lisle
(qui en est considéré, si on peut dire, comme le leader),
François Coppée, José-Maria de Heredia et Théodore de Banville.
Ces poètes prônent et pratiquent "l'art pour l'art",
c'est-à-dire une poésie dégagée de toute expression sentimentale ou sociale,
tournée uniquement vers la beauté.

Psaume à la neige
Louange à la neige blanche, amie des grands sapins noirs !
Parce qu'elle préfère nos ramures à celles des autres arbres.
Parce que ses papillons se prennent innombrables
aux aiguilles de notre feuillage.
Parce qu'elle est légère, silencieuse, Immaculée.
Parce qu'elle nous revêt d'une blancheur plus blanche
que tout ce qu'il y a de blanc au monde.
Plus blanche que les fleurs du narcisse et du lys.
Plus blanche que l'écume du ruisseau qui saute sur les pierres.
Plus blanche que la face de la lune par les claires nuits d'hiver.
Plus blanche que les étoiles qui fleurissent dans les prés de la nuit.
Louange à la neige, amie des sapins noirs.
Louis Mercier ("Le poème de la maison")

Chanson d'hiver
Le soleil est en congé :
Comme il neige ! comme il neige !
Le soleil est en congé
(Joli temps pour voyager !...)
La froidure a délogé
Sous la neige, sous la neige,
La froidure a délogé
Les oiseaux du potager.
Le soleil est en congé :
Comme il neige ! comme il neige !
Le soleil est en congé
(Quelque part à l'étranger ?...)
Quant à moi, flocons légers,
Quand il neige, quand il neige,
Quant à moi, flocons légers,
J'aime à vous voir voltiger.
Le soleil est en congé :
Comme il neige ! comme il neige !
Le soleil est en congé
(S'il n'a pas déménagé ! ...)
Chacun de s'interroger,
Tant il neige, tant il neige,
Chacun de s'interroger :
Jusqu'à quand va-t-il neiger ?
Jean-Luc Moreau
(Poèmes de la souris verte - éditions Hachette Jeunesse, 2003)

La place rouge


«  Le poète c’est un homme qui peut ne jamais savoir forger un vers
mais qui comprend le langage mystérieux des fleurs,
les signes des étoiles et la poésie troublante des rayons de lune. »
Madeleine Morize (1898)

Le flocon
Venant de Norvège
Un flocon de neige
Qui volait au vent
S’en allait rêvant.
Voyant un fille
D’allure gentille
Par le Nord giflée
Bien emmitouflée
D’un bonnet de laine
Il se dit : "Ma veine !
De la bonne aubaine
Si je profitais pour me camoufler
Et me réchauffer.
J’attendrai demain
Pour continuer tout ce long chemin."
Il n’eut pas de peine
A mettre le nez
Dessous le bonnet
Mais sa longue route
Soudain s’arrêta :
Un frêle goutte
Fut le résultat.
Ceux qui se figurent
Pouvoir ignorer
Tout de leur nature
N’ont plus qu’à pleurer.
Louis Delorme
Louis Delorme est un peintre et poète contemporain,
auteur de nombreux recueils de poésie qu'il a lui-même illustrées.
Il écrit également des romans et des pièces de théâtre.

La neige papillonne
La blanche neige papillonne
Et fleurit les branches de houx.
Elle se joue et tourbillonne
En nous frôlant tout doux, tout doux.
La blanche neige papillonne
Et, voletant sur les toits roux,
Vient mettre une coiffe mignonne
Aux vieilles maisons de chez nous.
Hermin Dubus
("Le Livre de la Joie" - Bibliothèque d'éducation, 1931)

Toute ces propositions de poèmes sont extraites du site
auquel vous pouvez accéder en cliquant sur son nom ci-dessus
Vous  y trouverez une vraie mine d'or de poèmes,
un blog qui mérite le détour pour tous ceux qui aiment la poésie.
C'est tout pour aujourd'hui,
demain est un autre jour...

Poésies d'hiver - 2ème partie


Un brouillard épais noie
L'horizon où tournoie
Un nuage blafard,
Et le soleil s'efface,
Pâle comme la face
D'une vieille sans fard.
La haute cheminée,
Sombre et chaperonnée
D'un tourbillon fumeux,
Comme un mât de navire,
De sa pointe déchire
Le bord du ciel brumeux.
Sur un ton monotone
La bise hurle et tonne
Dans le corridor noir :
C'est l'hiver, c'est décembre,
Il faut garder la chambre
Du matin jusqu'au soir.
Les fleurs de la gelée
Sur la vitre étoilée
Courent en rameaux blancs,
Et mon chat qui grelotte,
Se ramasse en pelote
Près des tisons croulants.
Théophile Gautier
(recueil "Intérieurs" dans "Premières Poésies, Albertus,
La Comédie de la Mort, Les Intérieurs et les paysages" , 1845
Théophile Gautier (1811-1872) est un écrivain et un poète, 
également critique d'art reconnu.
Plus que ses poèmes, on connaît ses romans classiques pour la jeunesse, 
régulièrement réédités et parfois adaptés au cinéma :
le Capitaine Fracasse, Le Roman de la momie.

La dernière feuille 
Dans la forêt chauve et rouillée
Il ne reste plus au rameau
Qu'une pauvre feuille oubliée,
Rien qu'une feuille et qu'un oiseau.
Il ne reste plus en mon âme
Qu'un seul amour pour y chanter,
Mais le vent d'automne, qui brame
Ne permet pas de l'écouter ;
L'oiseau s'en va, la feuille tombe,
L'amour s'éteint, car c'est l'hiver.
Petit oiseau, viens sur ma tombe
Chanter, quand l'arbre sera vert !
Théophile Gautier ("Poésies")

La bise
Va-t'en, me dit la bise,
C'est mon tour de chanter.
Et tremblante, surprise,
N'osant pas résister,
Fort décontenancée
Devant un Quos ego,
Ma chanson est chassée
Par cette Virago.
Pluie. On me congédie
Partout, sur tous les tons.
Fin de la comédie.
Hirondelles, partons.
Grêle et vent. La ramée
Tord ses bras rabougris ;
Là-bas fuit la fumée
Blanche sur le ciel
Une pâle dorure.
Jaunit les coteaux froids.
Le trou de ma serrure
Me souffle sur les doigts.
V
ictor Hugo ("Les Chansons des rues et des bois")

Coucher de soleil sur la banquise

Pâle soleil d'hiver
(Sonnet)
Pâle soleil d'hiver, tu filtres du ciel gris
Un rayon souffreteux qui fait plus triste encore
La cité s'éveillant dans sa rumeur sonore ;
Et c'est sous ce jour faux que tu veux voir Paris.
Tu songes à ces temps où, pur de son mépris,
L'homme ignorait le spleen, ce mal qui nous dévore,
Jouissait d'un beau vers, du galbe d'une amphore,
Et vivait sans remords sous l'azur incompris.
Tu te dis, n'est-ce pas, que la Terre, ta fille,
Nourrit en ce moment une pauvre famille ?
Et qu'elle a fait son temps ? - Mais, ne sois pas si fier !
Devant l'Éternité, tu n'es qu'une fusée
Qui passe. Et tu mourras, ô vieille lampe usée,
Soleil jaune et poussif, pâle soleil d'hiver.

Jules Laforgue ("Le sanglot de la terre" - 1901)

Paysage
L'automne à Chaville est superbe ;
Le bois par place est resté vert ;
Ailleurs, tournant au vent d'hiver
Les feuilles s'abattent sur l'herbe ;
Mais les grands chênes fiers encor,
Gardent leur parure tenace,
Et, sentant que le froid menace
S'habillent de cinabre et d'or,
Qu'importe si le ciel est sombre,
Quand on a la claire forêt !
Son feuillage ardent qui paraît
Plus radieux au sein de l'ombre
Nous garde en ses rameaux vermeils,
Dans ses feuilles d'or pur baignées
Et de longs rayons imprégnées,
Le souvenir des vieux hivers.
Paul Arène

Paul Arène, ou Paul-Auguste Arène, (1843-1896)
est un poète de langue provençale et française,
contemporain et proche d'Alphonse Daudet
(il aurait participé à l'écriture des Lettres de mon moulin ).
Il préside le Félibrige de Paris en 1879
(mouvement littéraire créé par Frédéric Mistral en 1854
pour favoriser et organiser la sauvegarde et la promotion de la langue d’oc).

Bonjour monsieur l'Hiver
- Hé ! bonjour monsieur l'Hiver !
Ça faisait longtemps...
bienvenue sur notre terre,
Magicien tout blanc.
- Les montagnes t'espéraient ;
Les sapins pleuraient ;
Les marmottes s'indignaient ;
Reviendra-t-il jamais ?
- Mes patins s'ennuyaient ;
Mes petits skis aussi ;
On était tous inquiets ;
Reviendra-t-il jamais ?
- Hé ! bonjour monsieur l'Hiver !
Ça faisait longtemps ...
Bienvenue sur notre terre,
Magicien tout blanc.

Patrick Bousquet
Patrick Bousquet est un auteur contemporain de chansons,
de poésies, et de romans pour les enfants et la jeunesse.

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C'est tout pour aujourd'hui,
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Poésies d'hiver - 1ère partie



Regardez la neige qui danse
Derrière le carreau fermé.
Qui là-haut peut bien s'amuser
A déchirer le ciel immense
En petits morceaux de papier ?
Pernette Chaponnière


Le sapin de noël (ou le petit sapin sous la neige)
Le petit sapin sous la neige
Rêvait aux beaux étés fleuris.
Bel été quand te reverrai-je ?
Soupirait-il sous le ciel gris.
Dis moi quand reviendra l’été !
Demandait-il au vent qui vente
Mais le vent sans jamais parler
S’enfuyait avec la tourmente.
Vint à passer sur le chemin
Un gaillard à grandes moustaches
Hop là ! en deux coups de sa hache,
A coupé le petit sapin.
Il ne reverra plus l’été ,
Le petit sapin des montagnes,
Il ne verra plus la gentiane,
L’anémone et le foin coupé.
Mais on l’a paré de bougies,
Saupoudré de neiges d’argent.
Des clochettes de féerie
Pendent à ses beaux rameaux blancs.
Le petit sapin de noël
Ne regrette plus sa clairière
Car il rêve qu’il est au ciel
Tout vêtu d’or et de lumière.
Pernette Chaponnière

("Vingt Noëls pour les enfants" - Éditions de la Baconnière, 1985)
Pernette Chaponnière est née en 1915 en Suisse.
Elle est auteure de romans, de livres pour enfants et de pièces de théâtre.


L’hiver, la neige
Voilà
Les arbres
Avec
Du sucre
Sur le nez
La route
Toute
Poudrée
Le ciel
Enfariné
La neige
A tout changé.
Anne-Marie Chapouton

Anne-Marie Chapouton (1939-2000) est l'auteur d'albums,
de comptines et de poèmes pour les enfants
qu'elle a souvent illustrés elle-même.


Il a neigé
Il a neigé la veille et, tout le jour, il gèle.
Le toit, les ornements de fer et la margelle
Du puits, le haut des murs, les balcons, le vieux banc
Sont comme ouatés, et, dans le jardin, tout est blanc.
Le grésil a figé la nature, et les branches
Sur un doux ciel perlé dressent leurs gerbes blanches.
Mais regardez. Voici le coucher de soleil.
À l'occident plus clair court un sillon vermeil,
Sa soudaine lueur féérique nous arrose,
Et les arbres d'hiver semblent de corail rose.
François Coppée ("Promenades et Intérieurs")


La mort des oiseaux
Le soir, au coin du feu, j’ai pensé bien des fois
A la mort d’un oiseau, quelque part, dans les bois.
Pendant les tristes jours de l’hiver monotone,
Les pauvres nids déserts, les nids qu’on abandonne,
Se balancent au vent sur le ciel gris de fer.
Oh ! comme les oiseaux doivent mourir l’hiver !
Pourtant, lorsque viendra le temps des violettes,
Nous ne trouverons pas leurs délicats squelettes
Dans le gazon d’avril où nous irons courir.
Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ?
François Coppée


Matin de décembre
On s'éveille
du coton dans les oreilles
une petite angoisse douce
autour du cœur, comme mousse
c'est la neige,
l'hiver blanc  sur ses semelles de liège
qui nous a surpris, dormant.
Guy-Charles Cros ("Avec des mots" - éditions L'artisan du Livre, 1927)


Tout est dur, clair, sans voix, et mort ;
l'hiver est fermé comme un livre.
On dirait que la vie a tort de vouloir encore vivre.
le fleuve est pris ; le ciel si bas
pèse sur les étendues blanches...
Un oiseau pourtant chantera
en avril, dans les branches.
Guy-Charles Cros ("Avec des mots" - éditions L'artisan du Livre, 1927)


L'hiver
L'hiver, s'il tombe de la neige,
Le chien blanc a l'air beige.
Les arbres seront bientôt touffus
Comme dans l'été qui n'est plus.
Les oiseaux marquent les allées
Avec leurs pattes étoilées.
Aussitôt qu'il fait assez jour,
Dans le jardin bien vite on court.
Notre maman nous emmitoufle,
Même au soleil, la bise souffle.
Pour faire un grand bonhomme blanc,
Tout le monde prend son élan.
Après ça, bataille de neige!
On s'agite, on crie, on s'assiège.
Et puis on rentre, le nez bleu,
Pour se sécher autour du feu
Lucie Delarue-Mardrus
("Poèmes mignons pour les enfants" - Gedalge, 1929)
Lucie Delarue-Mardrus (1874-1945) est l'auteur de nombreux poèmes,
romans, contes et nouvelles ...
Elle est aussi dessinatrice, sculptrice et historienne.


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C'est tout pour aujourd'hui,
demain est un autre jour...








Quelques jours de vacances pour la Saint Valentin



Certes, ce ne sont pas de longues vacances,
juste quelques jours,
pour me poser,
pour une pièce de théâtre et un petit tour au musée,
et 
fêter la Saint Valentin.

Alors je me suis souvenu
d'un texte de Stéphane Barillet

Qu'elle est l'origine du mot vacance ?
Ce mot vient du latin vacare qui signifie être vide.
Une racine dérivée donnera également le mot vacuité.
Alors cessons à tout prix de vouloir nous occuper pendant nos vacances,
et profitons de ces moments "de vide" pour tout simplement être heureux.,
s'abandonner à l'oisiveté et au bonheur qui l'accompagne.



Ce n'est pas Yves Roy qui me contredira,
il faut savoir prendre du temps pour soi,
faire de temps en temps une pause,
pour se ressourcer en se donnant du plaisir et de la joie.

Pour moi hier soir,
c'était 2 heures de rires
et comme l'écrit également Yves Roy
dans
le rire devrait être remboursé par la Sécurité Sociale.

C'était à Comédie Bastille

Pour la pièce "hors piste"
d'Eric DELCOURS

Le commentaire de Gilles n'est pas le mien mais j'adhère.

Voici le lien vers

Et comme il est tard et que mon temps est précieux,

je vous laisse pour aujourd'hui avec ces dernières photos

des sources chaudes de Pamukkale en Turquie




C'est fini pour aujourd'hui.
Demain est un autre jour...

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