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Renoir au XXème siècle



En 2010, une centaine d'oeuvres de Renoir ont été exposées au Grand Palais, 
dans une très belle exposition sur ses peintures de la période du début du XXème siècle.
Plus de 15 salles lui était consacrées et lorsque j'ai découvert la première, 
j'ai retrouvé avec un plaisir toujours renouvelé, 
les deux immenses tableaux représentant les danseurs 
qui sont habituellement présentés au musée d'Orsay.

Cette 1ère peinture sur des tons chauds pour la danse à la campagne (1897)

La 2ème sur des tons froids pour la danse à la ville (1883)

Dans cette salle, nous retrouvions également "les jeunes filles au piano" (1892), 
la première acquisition des musées de Paris qui est également très connue 
et présente tout le talent du peintre qui pourtant commençait
déjà à souffrir d'arthrite.


Dans une autre salle, de nombreux tableaux d'enfants émaillent l'exposition 
dont ses propres enfants.




J'ai aimé aussi les tons chauds et dorés qui couvrent la toile de ce "paysage à Beaulieu"
où les couleurs se mêlent, comme dans une danse.
Pas de précision, mais l'effet du vent et de la lumière
changeant à chaque instant ce paysage.

Plus loin, ce sont les nus de Renoir qui sont présentés.
Le corps des baigneuses exposées en série
s'offre dans les couleurs nacrées et chaudes propres à l'artiste.
La référence à l'antiquité est implicite mais Renoir la revisite à sa manière.
La justesse anatomique cèdant le pas à la monumentalité
et la palette du peintre se colore plus vivement.










J'ai découvert également qu'à la fin de sa vie,
Renoir a réalisé des sculptures dont voici quelques exemples.




Il y a aussi ce magnifique tableau de la femme à la guitare

Les filles d'Henri Lerolle au piano (1897)

La lecture


et bien d'autres peintures toutes aussi belles les unes que les autres.

Le peintre ne disait-il pas
"'il n’y a pas de frontière entre un décorateur et un artiste".


Citations de Pierre-Auguste Renoir

"La peinture s'apprend dans les musées."

"La douleur passe, la beauté reste."

"Un matin, l'un de de nous manquant de noir, se servit de bleu : 
l'impressionnisme était né."


Et pour ceux qui voudrait connaître un peu mieux ce peintre

qui consacra sa vie à la peinture, voici sa biographie.



Peintre, graveur et sculpteur français né à Limoges, 
mort à Cagnes (Alpes-Maritimes). 
Renoir était issu d'une famille pauvre. 
Son père était un modeste tailleur qui entretenait à grand-peine toute sa famille. 
Renoir commença par peindre sur porcelaine; 
ce fut en quelque sorte son apprentissage. 
 Pour vivre, il décora ensuite des éventails et des stores. 
Ayant fait quelques économies par ses travaux, 
il put entrer à l'atelier de Gleyre et rencontra Monet en 1862. 
Gleyre n'eut sans doute pas une haute opinion de son élève 
quand il demanda au jeune peintre assis devant sa toile :
" C'est sans doute pour vous amuser que vous faites de la peinture ?" 
- "Mais certainement, répondit Renoir, 
 et si ça ne m'amusait pas, je vous prie de croire que j'en ferais pas."

Abandonné à lui même par Gleyre, 
- assez dédaigneusement - 
Renoir en profita pour travailler selon ses goûts 
en copiant les grands maîtres au Musée du Louvre. 
Un jour, peignant dans la forêt de Fontainebleau, 
il fut pris à partie par des gamins 
qui se moquaient de sa vieille blouse de porcelainier. 
Il fut secouru par l'arrivée d'un homme vigoureux malgré sa jambe de bois : 
c'était Diaz, 
qui le prit en amitié et lui permit de s'approvisionner en couleurs à son compte. 
La peinture de Renoir, d'abord influencée par Courbet, 
trouve son premier accomplissement dès 1867, 
et sa Lise est une oeuvre où déjà se trouvent fixé les grands thèmes chers à Renoir : 
la lumière et le corps de la femme.
Il reste aussi fidèle à son admiration pour Delacroix : 
ainsi ses Parisiennes habillées en Algériennes, 
toile refusée au Salon de 1872, 
sont directement inspirées des Femmes d'Alger, 
Renoir et Monet travaillent souvent côte à côte, 
exécutant des oeuvres dans un même esprit de recherche : 
la Grenouillère (1869) (Cf biographie de Monet) 
puis, plus tard, la Mare aux Canards (1873). 
Une grande amitié les lia, les incitant à mettre en commun leurs découvertes techniques. 
A la déclaration de la guerre, Renoir fut enrôlé à Bordeaux. 
Il revint à Paris dès la fin des hostilités. 
Se remettant aussitôt au travail, 
il peint alors les rue animées de Paris dont la facture évolue entre Corot et Lépine : 
Le Pont-Neuf (1872).

Les séjour qu'il fit auprès de Monet à Argenteuil (1873-1874) 
allaient lui permettre de diviser le ton, d'éclaircir sa palette, 
 d'étudier toutes les transformations de la lumière. 
Chez Monet, il retrouva Manet
alors que celui-ci, sur les instances de Berthe Morisot, 
se convertissait à la peinture claire. 
Ces rencontres dans le jardin de Monet à Argenteuil, 
ces séances de travail au bord de la Seine sont mémorables. 
Ce sont des moments d'intense activité. 
Au milieu d'une vie bruyante et animée, 
dans l'esprit lucide de tous ces peintres, 
les découvertes technique se succèdent. 
La nouvelle peinture se précise.

La première exposition du groupe (1874), 
que Renoir organisa et à laquelle il participa, 
allait mettre cette nouvelle peinture en évidence aux yeux de tous. 
 Si la vente aux enchères de 1875 fut un désastre, 
à laquelle Durand-Ruel assista impuissant, 
elle permit au moins à Renoir de découvrir un nouvel amateur : 
 Chocquet. Celui-ci lui proposa très rapidement, 
tant son admiration pour sa peinture était grande, 
d'exécuter le portrait de sa femme. 
Pour Renoir, il devint par la suite un amateur actif et un soutien généreux. 
Renoir, poursuivant ses recherches sur la luminosité de l'atmosphère, 
s'applique à la traduire à l'occasion de thèmes différents 
et la poursuit dans des cadres très divers : 
au théâtre : 
La loge (1874), La Première sortie (1876); 
en plein air : 
Le Moulin de la Galette (1876), Jeanne Samary(1877), 
et enfin il ne redouta pas de s'attaquer aux portraits mondains 
en faisant poser Madame Charpentier et ses enfants (1878), femme de l'éditeur.

Tout en ayant participé aux expositions impressionnistes de 1877 à 1879, 
cette dernière année il est admis au Salon. 
En 1880, séjournant à Croissy, il commence sa célèbre composition : 
où il évoque encore une fois la vie heureuse et sensuelle qu' il affectionne. 
Thème difficile et complexe où il peut utiliser toutes les ressources de sa main, 
où il peut traduire, dans la lumière étincelante d'un jour d'été, 
toutes les finesses particulièrement aiguës de ses sensations. 
De 1881 à 1883, malgré des difficultés matérielles, il séjourna en Algérie. 
Puis il fit un voyage, déterminant pour l'avenir de son oeuvre, 
en Italie où il visita Florence, Venise, Rome, Naples et Pompéi. 
En 1882 et 1883, il séjourna et travailla auprès de Cézanne à l'Estaque.

L'année 1884 marqua son détachement des conceptions impressionnistes. 
Sous l'influence encore vibrante du choc ressenti en Italie. 
Renoir entreprend des recherches que l'on qualifia de linéaires. 
La forme n'a plus tendance à être absorbée par la lumière ; 
au contraire, elle est décrite par la ligne ; 
le contour se resserre et se fais alors plus précis 
"Il produit des oeuvres dont la matière peut varier, 
parfois épaisse ou rugueuse, 
mais qui toutes ont en commun une pureté linéaire de contour, 
une atmosphère dépouillée ( D.Rouart : Renoir).

A nouveau en 1885,1888,1889, 
il fait de longs séjours auprès de Cézanne, en 1890, 
il brise avec son style récent et adopte cette fois une facture onctueuse, 
souple, nacrée, qui sera d'une grande importance dans son oeuvre, 
et fixera, dans l'esprit de beaucoup, l'image même de Renoir. 
Désormais, les principaux éléments de son style sont fixés. 
Il en variera jusqu'à sa mort les composantes, 
mais on n'enregistera plus dans son oeuvre de brusques 
ou contradictoires transformations.

En 1891, à nouveau, il séjourne dans le Midi. 
L'année suivante il voyage en Espagne, 
et Durand-Ruel organise à Paris une importante exposition de ses oeuvres. 
En 1894, sans atteindre complètement son but, 
il lutte pour faire accepter par L'Etat le magnifique legs de Caillebotte. 
Ce n'est qu'en 1897 que ce legs, amputé d'un nombre important de tableaux, 
pourra entrer dans les collections de l'Etat. 
Il est atteint pour la première fois, en 1898, 
 de rhumatismes aigus, maladie qui devait être le calvaire de la fin de sa vie. 
De 1905 à 1909, 
sa maladie s'aggrave et il décide de se fixer définitivement dans le Midi. 
Il achète à Cagnes le terrain des Collettes 
où il fait construire se demeure et son atelier.

En 1912, sa maladie s'aggrave encore, 
il poursuit inlassablement son travail, 
ne pouvant plus peindre qu'en faisant attacher les pinceaux à ses poignets. 
Malgré son état de santé, entouré de praticiens avertis, 
il parvint à réaliser une oeuvre importante 
qui le range parmi les grands sculpteurs de son époque. 
Il devait mourir à Cagnes le 3 décembre 1919.

(extrait du site les grands peintres)

C'est fini pour aujourd'hui,
demain est un autre jour....


Femmes belles ou laides de Raphaël Zacharie de Izarra



Hommage à une femme

Ta beauté vaut-elle l'absolue
ou me transforme-t-elle en esclave ?
Sa loi est-elle si cruelle, 
si injuste ?
Pourquoi la beauté aurait-elle tous les droits ?

***

C’est mon privilège. 
Me dit la belle Vénus.
Elle fait la loi en ces lieux.
 Ma gloire est dans mon éclat, 
Je suis vénérée pour des lauriers gagnés par ma seule naissance !

La séduction est mon arme cinglante, 
et mes proies sont ma coutumière aventure.

Ma beauté me donne vraiment tous les droits. 
J'en abuse.
 Vous m'admirez, 
Vous me célébrez, 
Vous m'honorez.

Point, je m’efface.

Je me nomme tout simplement
L'objet de vos transports 

Je me nomme 

FEMME

Créature de luxe que j'incarne, 
le mystère à portée de lèvres... 

***

Oh, vous êtes belle, certes,
Mais plus que cela, 
Vous êtes femme en esprit. 
Née reine, vous dépassez la simple beauté !

Vous êtes féminité incarnée,
et rien que féminité !

Sous vos griffes de prestige 
J’incline volontiers le regard pour mieux vous servir, 
Sans une once d’indocilité, 
Au service de votre hautaine beauté.

Avec diligence je courbe l’échine 
Lorsque votre front me désigne, impérial. 
En silence je convoite votre chair. 
Et me plie au ton arrogant de votre voix 
Qui prononce déjà mon nom... 

Sous le poids aigu de votre talon dûment chaussé 
de cuir et de luxe, 
je vous rends hommage. 
Et baise votre pied dédaigneux.

Librement interprété et mis en forme à partir d'un texte de


Auto-portrait de Frida KAHLO

La beauté des laides
Le sentiment amoureux que peut éprouver un honnête homme 
à l'endroit d'une femme, 
contrairement aux idées reçues, 
ne s'alimente pas nécessairement des beautés sensibles 
tels que de beaux yeux et de ravissants sourires. 
Ces charmes physiques flattent la vue, assurément. 
Pourtant là n'est point la base solide et crédible, 
la terre ferme et prometteuse sur laquelle s'appuie, 
pour mieux s'élancer, 
le véritable sentiment amoureux.
On n'imagine pas, 
conditionnés par les décrets de la mode diffusant les normes d'une beauté contemporaine, 
occidentale, 
ce qui émeut réellement l'esthète averti, 
le coeur sensible, 
l'âme éveillée, 
quand le sujet de ce curieux et terrible émoi, 
au lieu de s'appeler 
"beauté", 
se nomme plus volontiers 
"disgrâce"

Je crois plus en la profondeur d'une émotion née à la vue d'un visage féminin ingrat
qu'au sentiment superficiel éprouvé face à des traits plus flatteurs. 
Je ne fais pas ici le procès de la beauté bien au contraire. 
Je suis extrêmement sensible aux charmes évidents des jolies filles, 
des belles femmes.
Cela m'empêche-t-il de vouloir rendre hommage aux autres ? 
Comme tous les garçons normalement constitués et programmés par la toute puissante Nature, 
je suis naturellement sensible à la grâce féminine, 
aux doux visages de l'amour, 
aux appas de ces demoiselles nées sous l'aile de Vénus.

Pourtant si ces dernières sont des fleurs vivantes, 
des femmes qu'il faut chérir à juste titre, 
des anges adorables qu'il est agréable de regarder passer dans la rue,
d'admirer pour leur seule beauté, 
les autres, 
toutes ces créatures à la beauté absente, 
disgraciées pour la vie entière, 
ce sont des poèmes.
Tristes et beaux.

Ces femmes sont pareilles aux brises qui agitent les blés, 
délient les longs cheveux, 
font tourner les ailes des moulins : seuls leurs effets sont visibles.
Transparentes, les laides passent inaperçues dans la rue. 
La norme ne les reconnaît pas. 
Leur attrait est indirect, subtil, mystérieux. 
Proust ne disait-il pas :
"Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination" ?

Il y a du roman et des soupirs dans les amours qu'elles inspirent. 
Il y a du souffle et de l'esprit chez ces femmes sans éclat. 
Le vrai poète préfère faire rimer l'amour sans atours. 
Il trouve de la grâce là où ordinairement nul ne vient s'extasier.
Lire à travers leurs traits ingrats le désir d'un amour idéalement conçu est ma plus chère ivresse. 
J'aime me faire aimer des laides. 
Quoi de plus exquis qu'un regard que l'on sait secrètement amoureux ? 
Ces pauvres visages qui regardent l'être aimé sont à l'image de ma conception de l'amour : 
empreints de noblesse,
sensibles, 
chastement inspirés, 
répandant un triste et bel état intérieur... 

A travers
elles, l'amour est un mystère encore plus beau.
La détresse physique des femmes est chose émouvante. 
Le feu intérieur en elles se révèle ardent. 
Je suis un esthète de la cause impie : 
je chante les ombres, les mortes, les haillons.
J'aime les disgraciées plus que les arrogantes déesses des grands boulevards et des salons. 
J'aime les femmes fragilisées à cause de leur aspect, 
les filles laides et sensibles, pleines d'idéal.
Les larmes des poupées de chiffon font mieux fléchir mon coeur 
que les sourires des créatures de porcelaine. 
Je suis ému par les paysages d'automne, 
touché par les sanglots, 
troublé par les violons tristes, 
séduit par les feuilles mortes, 
les fleurs brisées.

Les peintures de CARAH



Carah (née le 1er janvier 1961) est une artiste peintre contemporain.
Elle passe son enfance dans le sud de la France. 
Très jeune, elle est fascinée par la peinture et choisit dès le secondaire de prendre une orientation artistique. Après son Bac, elle passe deux années à la faculté d’Art Plastiques, 
puis s’inscrit à l’école des beaux-arts d’Aix en Provence.


Durant cette période, c’est dans un couvent du xvieme siècle siècle qu’elle installe son atelier 
et participe activement avec d’autres artistes au grand courant artistique du moment, 
« La Figuration Libre. »


De ces années, elle laissera une trace importante par des toiles de très grands formats 
dont certaines serviront de décor de scène à une compagnie de théâtre contemporain.
Au terme de six années d’études, en 1986, elle obtient son diplôme avec mention du jury.


Attirée par toutes les formes d’expressions picturales, c’est d’abord dans l’abstraction 
qu’elle s’exprimera pendant de nombreuses années. 
Langage qu’elle considère comme originel et privilégié :


« Libéré de tout support figuratif, seule la sensibilité et l’émotion s’expriment, c’est le langage de l’âme. »
L’alternance entre période de figuration et d’abstraction restera malgré tout nécessaire pendant longtemps.


« Ces deux oppositions complémentaires sont l’essence même de l’être humain. 
D’un côté les objets qui nous entourent et de l’autre, les sentiments qui nous animent. »


Depuis, on assiste à un travail riche de cette complémentarité qui symbolise la quintessence d’une longue recherche picturale.


Aujourd’hui ses œuvres enrichissent de nombreuses collections privées à travers le monde.


C'est aujourd'hui une artiste connue et reconnue d'outre Atlantique jusqu'à l'Oural. 
La côte de ses tableaux ne fait que de grimper. 
Elle ne connaît pas la crise.

A voir à Nice,
au Palais des expositions 
au salon d'art actuel
pendant la foire de Nice
du 06 au 15 mars 2010
Atelier Carah Di Grazia - 80 rue Grande Tel. 04 93 32 09 82


Retrouver le diaporama des oeuvres de Carah dans mes publications 
rubrique : l'art, la culture, les spectacles


C'est fini pour aujourd'hui.
Demain est un autre jour...

Confidences





La poésie du jour,

Il y a des soirs qui redonnent l’espoir,
Des matins avec des roses blanches
Des journées comme un début d’histoire,
Des nuits de confidences en avalanches.

Et même si ça ne tient pas debout
Ces drôles de rêves partis sur un bonsoir,
Te voilà qui me viens avec ton loup
Pour me donner cet étrange pouvoir...

A la croisée du temps qui s’en fout,
J’ai retrouvé le jaune d’un nouveau soleil
Qui recouvrant le voile noir de mes jours
M’a doucement réveillé de mon sommeil.

Il y a des ciels qui respirent d’étoiles,
Des chemins avec des odeurs de printemps,
Des images comme le début d’une toile,
Des rivières de plaisirs en ruissellement.

Et même si ça n’est rien qu’un brin de mimosa
Pour cette drôle de vie que l’on vit malgré tout
Te voilà qui me viens avec ton chat
Pour me donner l’envie d’y croire jusqu’au bout.


Confidences © Gilles RICHER





Le proverbe du jour,

Une peine qui dure longtemps
est une peine cultivée.




Le tour d'horizon sur la vie du site

Le diaporama de photos
Des photos de chats ont été enlevées au profit de celles qui agrémentent le site au fur et à mesure des publications.
Cet album est disponible en accès public sur Picassa pour visionner les photos dans leur format disponible sur
ce site, c'est à dire en général dans une dimension suffisante pour agrémenter un fond d'écran ou une
impression de qualité en 10x15cm - maximum 13x18cm.
Si vous souhaitez certaines photos dans un plus grand format, vous pouvez m'en faire la demande sur ma
boîte aux lettres.

La musique
Elle s'étoffe au fur et à mesure de mes sélections hebdomadaires que vous pouvez toujours retrouver car
je laisse un lien vers les archives qui active automatiquement la musique.
J'ai ajouté une sélection de musique classique qui évoluera petit à petit mais j'ai l'impression que la
bibliothèque de Deezer est un peu limitée dans ce domaine.
Début 2010, une sélection de jazz sera également intégrée au site pour compléter la palette musicale.
Je ne pense pas aller au delà au niveau des genres, donc pas de musique électronique, de rap sauf à dose
homéopathique.
Par contre une sélection de radio est possible dans tous les styles sur demande. Je commence par ma
radio préférée, France Bleu Périgord qui agrémente mes vacances. Pour les autres, faites vos demandes
par mail. J'essaierai de vous satisfaire dans la limite des contraintes et de mes connaissances techniques.
Pensez à la touche Ctrl avant de cliquez pour ne pas quitter le blog tout en écoutant la radio.

Mes coups de coeur
L'édito de Thomas LEGRAND vous permet d'accéder à sa chronique journalière sur France Inter.
La qualité des interventions de ce journaliste ne fait pour moi aucun doute ; enfin l'occasion de sortir des
idées toutes faites et de réfléchir sur des sujets de fond ; à chacun d'approfondir ensuite les sujets abordés
pour se faire sa propre opinion, comme hier en ce qui concerne la loi sur la burqua, évoquée dans son
article. Par ailleurs, vous pouvez également consulter les archives. Le site de France Inter est vraiment
bien fait et d'ailleurs détient un record d'audience ; un succès bien mérité.
L'accès au site de Christophe André est aussi riche en anecdotes qui nous font réfléchir sur nos attitudes.
Il est également renouvelé presque tous les jours et vaut bien un petit accès régulier.
Je viens de faire une commande à ma nièce ; faites comme moi ; un petit tour sur son site et trouvez le torchon
assorti à votre cuisine ou l'accroche porte, une idée originale pour décorer votre maison. Le site est un peu
lent en consultation à mon goût mais avec un peu de patience et de curiosité, on trouve toujours le petit
objet qui nous fera plaisir sur "l'Atelier Klin".
Le site des amoureux des chats donne tous les informations complètes sur le comportement, la santé,
l'alimentation, les différentes races, l'éducation et sans oublier les astuces à connaître lorsqu'on vit avec ces
petits compagnons.

Les publications :
Classées par thèmes, elles sont sélectionnées pour leur intérêt et leur présentation selon bien entendu mon
avis totalement subjectif mais que j'espère pouvoir partager avec vous.
Je n'indique pas toujours les nouveautés, donc jetez un oeil sur les propositions, elles devraient apparaître
dans une couleur différente si vous n'avez jamais cliqué sur la publication concernée.
Certaines disparaitront pour être remplacées par d'autres au fil du temps.

L'article journalier
Dans la mesure du possible, chaque jour de belles photos (du moins j'essaie) représentent un support à
à la découverte d'un sujet. Mon but, juste donner un peu de plaisir chaque jour à ceux qui rendent visite
au site et susciter parfois une réflexion sur un sujet particulier qui me tient à coeur.
Je privilégie ainsi la poésie, cette petite voie du coeur qui prend forme dans des mots parsemés sur la feuille
blanche avant même la censure de l'esprit.
J'espère intégrer plus de diaporamas et de vidéos en 2010, si les possibilités d'hébergement de ce type de
support continuent à se développer. L'amélioration de la qualité de diffusion est pour moi une condition
indispensable, la  haute définition n'étant pas encore facilement exploitable actuellement sur le net.
Enfin une part plus importante sera bientôt donnée à l'informatique, car c'est un domaine que j'explore
depuis longtemps et qui devrait me permettre de vous présenter quelques astuces ou découvertes utiles.

Les données accessoires 
Vous avez en haut du site un bandeau de recherche qui peut vous servir aussi bien pour retrouver un sujet
traité dans le blog que sur les liens effectués ou bien sûr Internet.
En bas du site, c'est l'information en temps quasi réel sur la grippe A qui restera diffusée autant de temps
que nécessaire et le bandeau d'information qui défile sur l'économie, la politique, l'humour, les spectacles,
les films, la santé et le sport.

Voilà un large tour d'horizon du site qui reste ouvert à vos suggestions. Son auteur  aura toujours le plus
grand plaisir à lire vos commentaires ou vos mails.

C'est donc fini pour aujourd'hui,
demain étant un autre jour ...

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