Photo d'enfant @UNICEF |
Confronté aux grands problèmes géopolitiques de notre temps.
Nous nous doutons pas que la crise alimentaire
représente pourtant le principal défi du XXI siècle.
Il ne doit pas devenir transparent @UNICEF |
La crise alimentaire,
n’épargnent que peu de régions du monde.
la lutte contre la misère et,
depuis peu, la protection de l’environnement doivent
en permanence composer avec les réalités au quotidien.
Le pragmatisme,
le cynisme parfois,
Les relations internationales,
l’avarice des Etats,
la nature humaine est une impitoyable réalité.
Il ne doit pas devenir transparent @UNICEF |
On ne peut qu'être affligé par le spectacle des échecs.
Dans bien trop d’endroits,
l'action des pays riches est insuffisante ou trop tardive,
voire parfois inexistante.
Nous pouvons
FAIRE «PLUS ET MIEUX»
L'eau, source de vie @UNICEF |
Trop de promesses faites, mais peu de promesses tenues
auprès de ceux qui ont le plus besoin de nous.
Trop de pays déchirée par la guerre,
en proie à la misère.
L'eau, source de vie @UNICEF
L'objectif du millénaire est celui
de la paix,
de la lutte contre le terrorisme,
contre la prolifération des armes nucléaires,
du combat contre le sida
et l'application des droits de l’homme.
L'eau, source de vie @UNICEF
Mais nous allons être confronté à un mal vieux comme le monde,
Les «émeutes de la faim»
Il manque, près de 500 millions de dollars pour faire
face à la crise actuelle ?
La mère et l'enfant @UNICEF |
Une prise de conscience existe cependant.
Connaissant à présent la gravité des conséquences de la faim dans le monde,
il est important de savoir si elles peuvent être combattues
et si l’on peut nous même contribuer à la lutte contre ces injustices
qui enlèvent chaque année la vie à des millions de personnes.
La réponse à ces questions qu’il est naturel de se poser est fort heureusement
« oui »
car il existe de nombreuses associations, publiques ou privées, et autres procédés
qui viennent en aide aux affamés et aux malheureux.
La mère et l'enfant @UNICEF |
Parmi les différents types d’aides, la plus répandue est sans doute l’aide alimentaire,
même si elle est accusée de freiner le développement de l’agriculture
dans les pays qui la reçoivent et est souvent fort mal utilisée.
L’aide aux tiers monde est distribuée par des organismes internationaux.
L’aide directe est le fruit de l’accord entre deux pays (ou plus) :
prêteurs, donateurs et un pays bénéficiaire.
Une troisième forme d’aide est assurée par des organismes internationaux privés.
La mère et l'enfant @UNICEF |
La faim dans le monde est un crime à l’humanité,
un attentat contre l’être humain,
qui se détruit et souffre par lui-même !
Ce problème majeur, ravageur et destructeur ne devrait plus subsister de nos jours,
ni dans les pays développés ou les droits de l’homme sont pourtant si bien défendues
(ce qu’on est parfois tenté de se demander),
ni dans les pays sous-développés ou en voie de développement
ou ces droits sont malheureusement trop souvent bafoués.
La mère et l'enfant @UNICEF |
Les causes de cette injustice mondiale,
qui représente le principal défi pour l’humanité,
sont soient naturelles (conjoncturelles),
soit issues de l’homme lui-même (structurelles).
Dans ce cas le problème est très complexe et il semble presque impossible de le résoudre complètement
(ce à quoi aucun pays n’est encore parvenu).
Mais il ne faut pas pour autant baisser les bras,
car la passivité est vraiment la dernière chose qui permettrait de le résoudre.
Au contraire :
il est donc important de lutter contre les inégalités qui existent de nos jours et qui risquent,
malgré la mobilisation de nombreuses personnes qui ont pris conscience du problème,
de continuer à hanter la planète pendant encore longtemps.
C’est pourquoi il faut tous se mobiliser et rester solidaire envers les personnes en difficulté :
si chacun fait un peu, le résultat n’en sera pas moins important
et on devrait rapidement arriver à de nettes améliorations.
La mère et l'enfant @UNICEF |
Les solutions sont très nombreuses elles aussi.
Il faudrait développer et améliorer l’éducation dans les pays pauvres,
notamment une formation plus poussée sur l’agriculture
ainsi qu’un enseignement sur une alimentation équilibrée,
et informer les enfants dès l’école élémentaire de la gravité de la faim
pour ainsi former et apprendre aux plus jeunes âmes ce que subissent des millions d’enfants de leur âge.
L’erreur serait de croire qu’envoyer la nourriture excédentaire des pays riches aux pays pauvres
est une solution,
alors qu’il faudrait plutôt apprendre à ces pays à produire eux-mêmes leur propre nourriture,
et ainsi créer un état d’autosuffisance alimentaire.
Des réformes au niveau de l’état
(meilleure répartition des richesses et de la nourriture)
seraient également à prévoir, et ce sont les citoyens,
c’est à dire vous et moi, qui doivent les y inciter.
En somme, l’avenir de la faim dans le monde tient dans la volonté de chacun d’entre nous :
si l’on ne trouve pas nécessaire d’agir, alors le problème restera entier si ce n’est aggravé ;
en revanche, si chacun y met du sien et participe à une lutte sans merci pour un monde plus juste,
ne laissant aucune chance aux inégalités, il serait possible d’assister à l’abolition de la faim dans le monde.
Le chemin sera long à parcourir mais n'est-ce pas justement pour cela
que nous devons tous nous mobiliser.
L'enfant @UNICEF Agissez contre la faim dans le monde |
C'est fini pour aujourd'hui.
Demain est un autre jour...