Ce soir, vous avez décidé de passer une merveilleuse soirée à écouter le meilleur des oeuvres de Bach ou
de Vivaldi.... Passez votre chemin.
Le spectacle que je vous propose d'aller voir s'il a pour patronyme "Le Quatuor "vous décevra musicalement.
Par contre, si vous aimez la musique, le chant et surtout la comédie et le mime, c'est ici qu'il faut venir passer
un bon moment. C'est au théâtre des variétés et je vous conseille Ticket net pour les réservations car c'est
vraiment pratique (vous imprimez même vos billets chez vous) et vous êtes bien placés. En tout cas, ce fut le
cas pour moi.
Revenons à la présentation du spectacle.
Au sein de chaque tableau, la musique, l'humour, le geste et la poésie se mêlent chez ces 4 énergumènes au
talent qui font la joie des spectateurs depuis plus de 30 ans. Cet aller-retour permanent du rire enfantin à la
métaphore la plus profonde suscitent surprise et éveil permanent dans une savoureuse ambiguïté.
Ces artistes éclectiques, musiciens danseurs, acrobates, chanteurs, de part leurs étonnantes partitions suivent
un tempo impeccable sans le moindre temps mort.
Extrait modifié "à ma sauce" de l'article de Télérama.
le geste et la poésie qui suscitent de la surprise et un éveil permanent dans une savoureuse ambiguïté.
Ces quatre virtuoses ont une façon bien à eux de jouer. Jouer de tout, sans jamais se prendre au sérieux.
Avec autant de talent que les frères Jacques et les Marx Brothers réunis, ils s’approprient l’ensemble des
registres avec un sens inné de la parodie. Emportées dans le tourbillon de leur folie, Les feuilles mortes
tournoient aux côtés de l’Internationale, les Quatre Saisons donnent des frissons au Thriller de Michaël
Jackson, Jean-Sébastien fait son come Bach dans une désopilante leçon de musique, tandis que les
adolescents en pleine mue des Choristes donnent de nouvelles couleurs à leur tube angélique.
Avec autant de talent que les frères Jacques et les Marx Brothers réunis, ils s’approprient l’ensemble des
registres avec un sens inné de la parodie. Emportées dans le tourbillon de leur folie, Les feuilles mortes
tournoient aux côtés de l’Internationale, les Quatre Saisons donnent des frissons au Thriller de Michaël
Jackson, Jean-Sébastien fait son come Bach dans une désopilante leçon de musique, tandis que les
adolescents en pleine mue des Choristes donnent de nouvelles couleurs à leur tube angélique.
Le temps d’un spectacle, évidemment réglé comme du papier à musique.
Texte de Jean-François Perrier auquel je souscris parfaitement après avoir dégusté cette soirée.
D'accord, la moyenne d'âge de ces fringants chenapans doit en effet plutôt dépasser largement les 50 ans,
Mais quelle pêche !
Mais quelle pêche !
Et la voix est sûre, la grimace bien maîtrisée, l'acrobatie toujours présente, la danse bien rythmée.
La musique est là aussi parfaitement jouée malgré une chorégraphie acrobatique et inimaginable.
C'est intense, je n'ai pas vu le temps passer et j'aurais bien repris un petit air supplémentaire.
Mais on ne peut pas tenir plus de deux heures à cette allure endiablée, il faut donc bien quitter ce beau
théâtre des variétés avec dans la tête les airs des musiques et chansons évoquées à la vitesse du vent.
Voilà, j'ai joué les critiques par ma plume cette fois.
Et pour finir, voici le salon OFFENBACH, au magnifique décor de pur style empire.
C'est fini pour aujourd'hui,
demain est un autre jour ...
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